Réflexions Sur Les Restrictions Phonotactiques Spa, J.J.,, 9, 377-390 (1985), doi = https://doi.org/10.1075/li.9.2.08spa, publicationName = John Benjamins, issn = 0378-4169, abstract= Grosso modo les phonologues ont proposé trois manières pour traiter des données phonotactiques:1. L'approche des conventions marquantes,2. L'approche qui affirme positivement l'occurrence de tel ou tel groupe consonantique dans telle ou telle position,3. L'approche qui exclut l'occurrence de tel ou tel groupe consonantique dans telle ou telle position.Dans le présent texte je ferai un examen critique des deux premières approches.Je tâcherai de démontrer que les inventeurs de conventions marquantes n'ont pas été suffisammant clairs et cohérents quant à la façon dont il faut les utiliser pour comptabiliter les m, ce qui pourtant était leur objectif.Les restrictions phonotactiques positives expliquent moins bien certains faits que les négatives:a. Elle n'expliquent pas pourquoi les séquences consonantiques plus longues ont été construites à partir de séquences plus courtes,b. Elles ne prédisent pas qu'il y a des séquences consonantiques maximales,c. Elles n'expliquent pas pourquoi les séquences consonantiques plus complexes font leur apparition après les séquences plus simples., language=, type=