@article{jbp:/content/journals/10.1075/babel.45.1.03moy, author = "Moya, Virgilio", title = "La Ampliation del Discurso Traslativo a Propósito de los Nombres Propios", journal= "Babel", year = "1999", volume = "45", number = "1", pages = "17-38", doi = "https://doi.org/10.1075/babel.45.1.03moy", url = "https://www.jbe-platform.com/content/journals/10.1075/babel.45.1.03moy", publisher = "John Benjamins", issn = "0521-9744", type = "Journal Article", abstract = "AbstractThe paper deals with the information the translator adds to proper names in the target text (his readership does not share the same presuppositions as the readership of the original text). The paper is based on the linguistic use of the target culture, that is to say, in what the present journalistic texts are conventionally doing in both translated and non-translated texts. We work with journalistic texts mainly because they can be a basis to the translation of any pragmatic text, and we cannot forget that this is the most translated material. And after the description, analysis and explanation of these texts, we have confirmed that: a) proper names go through true shifts from the source text to the target text; b) some shifts are not as optional as Herting proposes; c) the addition — and at times the omission — of information, as much as sometimes ambiguity and literality show the creativity, the encyclopaedic knowledge and the common sense of the translator; and d) so much explanation surrounding names in the target text is one of the signs of their own translatability.RésuméDans notre article nous abordons le sujet de l'information que le traducteur ajoute aux noms propres dans le texte d'arrivée (ses lecteurs ne partageant pas les mêmes présuppositions que les lecteurs du texte de départ). L'article se fonde sur l'usage linguistique de la culture cible, c'est-à-dire, à ce qui se fait de manière conventionnelle dans les textes de presse actuels, tant pour les textes traduits que pour les textes non traduits. Nous travaillons sur des articles de presse principalement parce qu'ils nous servent de base pour la traduction de tout texte pragmatique, car nous ne pouvons pas oublier que ce sont ces textes pragmatiques qui sont les plus traduits de nos jours. Après la description, l'analyse et l'explication de ces textes, nous avons pu vérifier que: a) les noms propres subiraient de vraies transformations lorsqu'ils passent du texte source au texte cible; b) quelques transformations subies ne sont pas aussi facultatives que le pense Herting; c) l'ajout (et parfois l'omission) d'information, de même que la tendence à l'ambiguïté et la traduction littérale parfois, révèlent la creativité, les connaissances encyclopédiques et le bon sens du traducteur; et d) toute cette information additionnelle vis-à-vis du nom propre est donc bien un des indices de sa possible traduction.", }