1887
Volume 6, Issue 2
  • ISSN 1598-7647
  • E-ISSN: 2451-909X
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Abstract

Alors que la majorité des interprètes travaillent vers leur langue maternelle, ceux de la Corée doivent généralement procéder dans les deux sens. Cette étude vise à évaluer leur degré de satisfaction quant à leur performance en A ou en B, et à observer les relations entre résultat du travail et capacités des interprètes en termes de compréhension des messages et de l’expression des idées. Une enquête portant sur la période d’acquisition linguistique et l’ancienneté professionnelle révèle que la plupart des interprètes non-coréens ont appris leur langue B entre sept et onze ans, tandis que cette période d’acquisition présente des disparités chez les Coréens selon leurs combinaisons linguistiques. Toujours est-il que près de la moitié de ces derniers avec pour langue de travail le coréen et l’anglais ont répondu qu’ils ont acquis leur langue B entre sept et onze ans. Les interprètes ont éprouvé le plus de difficultés à travailler avec leur langue B, dans le domaine de la « littérature », un fait constaté tant chez les Coréens que les non-Coréens, sans considération de la durée de leur carrière. Pour se mettre au diapason de l’augmentation de l’offre et de la demande en interprétation de conférence, il serait d’autant plus judicieux de former des interprètes de conférence compétitifs à travers des programmes d’études plus spécialisés et ciblés.

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2008-01-01
2025-01-20
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