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Babel - Volume 37, Issue 4, 1991
Volume 37, Issue 4, 1991
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Die Übersetzung von Verbalmetaphern
Author(s): Uwe Kjärpp.: 193–202 (10)More LessThis paper is on metaphors involving verbs such as "Der Himmel weint." (literally, The sky is crying/weeping.") and comprises a comparative translation study.The source material consists of 11 prose works from German post-war literature (authors: Bienek, Boll, Frisch, Grass, Handke, Lenz, Nossack and Walser) and 6 works from Swedish post-war literature (authors: Andersson, Bergman, Delblanc, Gustafsson and Lagerkvist). The empirical investigation builds on a corpus where, for the first time, all the metaphors of a certain type in literary works have been excerpted and treated statistically, totally well over 2800 instances of metaphor. Up to now there has been no study in the field of verb metaphors (and their translation into Swedish) based on a material of a comparable size.One obvious result is that novel verb metaphors constitute a very important and stylistic device in German and Swedish post-war prose. Further, the investigation provides answers to a number of quantitative issues which might be of interest in the fields of literary analysis, translation theory and linguistics. For example, 47.7% of target-language replacements of source language metaphors reveal maximal equivalence, however the continuum lies between 24.9% and 67.7%.The comparative translation study was supplemented with an "inverted analysis", revealing certain tendencies with regard to compensatory mechanisms.
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Key terms in H.C. Andersen's fairytales and their translations into English
Author(s): Murray Knowles and Kirsten Malmkjaerpp.: 203–212 (10)More LessEn Grande-Bretagne, Hans Christian Andersen est célèbre avant tout en tant qu'écrivain de contes de fées, et bien qu'il soit souvent cité comme un maître de ce genre littéraire, cet éloge lui est essentiellement décerné en raison de son aptitude à créer une 'bonne histoire'. Mais rares sont les lecteurs anglais qui réalisent à quel point Andersen manie la langue avec une extraordinaire subtilité.Les auteurs suggèrent que ceci est dû en grande partie au fait que ses écrits parviennent au lecteur anglais en traduction, et que, quel que soit le mérite de la traduction, cette dernière ne rend pas l'uniformité de certains termes clés utilisés dans le texte original.Les auteurs démontrent en particulier que certains termes clés auxquels Andersen accorde une signification bien précise dans toutes ses histoires et non seulement dans une seule, se perdent généralement lors de la traduction, même lorsqu'il s'agit d'une collection de traductions réalisée par le même traducteur.Parmi les choix linguistiques d'Andersen, les auteurs ont sélectionné ceux qui, dans l'optique sociocritique de son oeuvre, constituent des termes clés. Ils suggèrent et démontrent qu'en procédant à une analyse approfondie du style de plusieurs récits, le traducteur sera mieux en mesure de reproduire fidèlement l'uniformité terminologique d'Andersen.En respectant l'uniformité d'une oeuvre, le traducteur serait mieux à même de reproduire non seulement le style et les compétences linguistiques de l'auteur, mais également son talent de conteur.
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The Hebrew Walden and translated renewal
Author(s): Albert Waldingerpp.: 213–220 (8)More LessL'article est basé sur les aperçus de Eugene Nida (1974) selon lesquels il existe une différence nette entre "équivalence dynamique" et "correspondance formelle" en matière de traduction. L'auteur de l'article, suivant Nida, préfère le dynamisme, mais il n'est pas d'accord avec lui (1976) que les expressions figées sont toujours à éviter. En hébreu, par exemple, ces expressions font partie d'une tradition culturelle riche qui comprend et la traduction de Thoreau et toute l'entreprise israélienne et sioniste qui visait à traduire la littérature du monde en hébreu pour faire entrer le nouvel Etat Juif dans la culture mondiale tout en maintenant son identité linguistique, religieuse et historique. Donc, le but de cette entreprise, comme le montre l'article, a toujours été la traduction non seulement de mots mais aussi de valeurs telles que celles de la tradition biblique et de l'expérience pionnière et sioniste (surtout représentée par A.D. Gordon) pour résulter en ce que Martin Buber a appelé "l'humanisme hébreu" et d'autres ont nommé un "goût pour l'indépendance."
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Coming in from the cold: Linguistic and socio-cultural aspects of the translation of Black English Vernacular literary texts into Surinamese Dutch
Author(s): Gloria Wekker and Herman Wekkerpp.: 221–239 (19)More LessL'article aborde le problème des équivalences qu'il s'agira d'utiliser pour traduire en néerlandais des textes littéraires rédigés en anglais africain ordinaire (Black English Vernacular -BEV). La production littéraire américano-africaine est tellement riche — affirmation qui s'applique aussi bien au passé (par ex. la Renaissance de Harlem) mais plus particulièrement à celle que l'on connaît de nos jours — qu'il est urgent de savoir quelle variété de néerlandais constitue l'équivalent le plus approprié, le plus logique et le plus crédible pour traduire le BEV. Le dommage que la traduction néerlandaise a causé à certaines oeuvres littéraires écrites en BEV est énorme. Les traducteurs des idiomes et de la culture noire des E.-U. font généralement preuve d'un manque de compréhension et optent souvent au hasard pour des dialectes du néerlandais sociaux ou régionaux que l'on estime devoir considérer comme équivalents linguistiques et stylistiques.La thèse centrale développée dans cet article se base sur des fondements linguistiques mais également socioculturels pour énoncer que c'est le dialecte que parlent les Noirs surinamiens, à savoir le néerlandais surinamien (NS), qui constitue l'équivalent du BEV. Les Noirs surinamiens sont les compagnons de migration des Nord-Américains d'origine africaine; ils font partie de la même diaspora noire. L'histoire commune du NS et du BEV a été consignée. Les auteurs ont analysé les caractéristiques du NS et du BEV et argumentent que ces deux dialectes, comparables au créole, présentent toute une série d'éléments communs qui n'ont pas encore été explorés. En outre, ils estiment que l'on peut postuler que les Américains africains et les Surinamiens africains partagent un même héritage socioculturel.Une étude de cas, en l'occurrence la traduction en néerlandais du roman d'Alice Walker 'The Color Purple', démontre à quel point le texte traduite en NS "colle" au BEV.
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