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Babel - Volume 52, Issue 2, 2006
Volume 52, Issue 2, 2006
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Sholem Aleichem in Tel Aviv: Classic Yiddish fiction in Hebrew
Author(s): Albert Waldingerpp.: 101–123 (23)More LessAbstractThe above article traces the progress of the translation of Sholem Aleichem, one of the most highly regarded of Jewish writers — indeed, a Yiddish classic — into Hebrew. It is emphasized that this is “in family’’ translation, since Yiddish and Hebrew are sisters, with Hebrew older, religious (even pious) and prestigious while Yiddish is younger, somewhat secular and ordinary. The task, then, was to fashion a Hebrew in tune with secular reality while maintaining the elevation and richness of the Jewish Hebraic tradition, both linguistically and morally. Joseph Haim Brenner, Y. D. Berkovits and Arye Aharoni, the first two creative writers in their own right, have had to struggle with these problems of adaptation and the article concludes that translation must be responsive to the life of its people.ResuméCet article décrit les traductions modernes de Sholem Aleichem, un des maîtres de la prose yiddish, en hébreu. On y a mis l’accent sur le fait que nous avons affaire à des traductions “en famille”, yiddish et hébreu, après tout, sont des soeurs, hébreu étant l’ancienne (“l’aînée”), la religieuse (même la pieuse) et celle pleine de prestige pendant que yiddish (“la cadette”) est laïque et quotidienne. Donc la tâche a été de façonner un hébreu en harmonie avec une réalité laïque (un nouvel État) qui néanmoins retiendrait l’élévation et la richesse linguistique et morale de la tradition juive. Josef Haim Brenner, Y. D. Berkovits et Arye Aharoni, les deux premiers étant des prosateurs “originaux”, devait confronter ces problèmes d’adaptation et l’article conclut qu’une traduction sensible à la vie du peuple en question est le meilleur.
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Syntax and Translatability
Author(s): Laurence Wongpp.: 124–132 (9)More LessAbstractThis paper discusses the relationship between syntax and translatability, particularly in respect of literary texts. By translatability is meant the degree of ease with which one language lends itself to translation into another language. Through practice in the translation between Chinese and some of the major European languages, such as English, French, Italian, German, Spanish, Latin, and Greek, as well as between the European languages themselves, it can be found that translating between the European languages is much easier than translating between Chinese and any one of the European languages. Of all the factors that determine whether a language translates more readily or less readily into another language, syntactic differences constitute one of the most decisive. This is because the translator is, during the translation process, constantly dealing with syntax in two directions: the syntax of the source language on the one hand and the syntax of the target language on the other. As a result, problems arising from the syntactic differences between the two languages are bound to figure more prominently than those arising from the differences between individual lexical items and phrases or between cultures. In this paper, syntax will be studied and analysed with reference to Chinese, English, French, German, Italian, Spanish, Latin, and Greek texts. Finally, it will be shown that, mainly because of syntactic differences, there is a higher degree of translatability between any two of the above European languages (which are members of the Indo-European family) than between Chinese (which is a member of the Sino-Tibetan family) and any one of these European languages, and that the syntax of any one of these European languages can cope comfortably with Chinese syntax, but not the other way round.RésuméCet article traite de la relation entre la syntaxe et la traduisibilité, en particulier, en ce qui concerne les textes littéraires. On entend par traduisibilité le degré de facilité avec laquelle une langue se prête à la traduction dans une autre. Par la pratique de la traduction entre le chinois et quelques-unes des principales langues européennes, comme l’anglais, le français, l’italien, l’allemand, l’espagnol, le latin et le grec, ainsi qu’entre les langues européennes mêmes, on s’aperçoit qu’il est beaucoup plus facile de traduire entre les langues européennes qu’entre le chinois et n’importe quelle langue européenne. Parmi tous les facteurs qui déterminent si une langue se traduit plus ou moins aisément dans une autre, les différences syntactiques comptent parmi les plus décisifs. Ceci est dû au fait que le traducteur, pendant le processus de traduction, est constamment confronté à une syntaxe dans deux directions : la syntaxe de la langue source, d’une part, et la syntaxe de la langue cible, d’autre part. En conséquence, les problèmes dus à des différences syntactiques entre les deux langues doivent nécessairement apparaître de manière plus évidente que ceux provenant de différences entre les syntagmes et éléments lexicaux individuels ou entre les cultures. Dans cet article, la syntaxe sera étudiée et analysée en référence à des textes en chinois, anglais, français, allemand, italien, espagnol, latin et grec. Enfin, il montrera qu’en raison des différences syntactiques surtout, la traduisibilité est plus grande entre deux langues européennes précitées quelles qu’elles soient (qui appartiennent à la famille indo-européenne) qu’entre le chinois (qui appartient à la famille sino-tibétaine) et une quelconque de ces langues européennes. Il montrera que la syntaxe de toute langue européenne peut sans difficulté venir à bout de n’importe quelle syntaxe chinoise, mais que l’inverse n’est pas vrai.
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Collocation in English-Arabic Translation
Author(s): Showqi Bahumaidpp.: 133–152 (20)More LessAbstractCollocation is considered one of the major ‘trouble spots’ for translators. This may be ascribed to the relative difficulty in predicting the constituent elements of a collocation, the considerag ble variation in collocability across languages and the lack of adequate resources on collocation. However, few empirical studies have been made so far on the types of collocations that are parg ticularly problematic to the translator, the specific sources of the problem and the procedures that translators actually resort to in handling such collocations. This paper investigates the areas just defined with special reference to collocation in English and Arabic. A translation test involving thirty sentencegcontextualized collocations of different types was designed. The test was administered to four Arab university instructors who taught translation and did translation work for different periods of time. The participants’ performance in the test was considerably low. A detailed analysis of the problem was conducted and the findg ings were then reported. It is hoped that a study of this kind would provide essential feedback for translation teachers and syllabus designers.RésuméLa collocation est considérée comme un des principaux «points névralgiques » pour les traducg teurs. Cela peut s’expliquer par la difficulté relative qu’il y a à prévoir les éléments constitutifs d’une collocation, aux variations considérables de collocabilité entre langues et au manque de ressources adéquates en matière de collocation. Toutefois, peu d’études empiriques ont été efg fectuées jusqu’à présent en ce qui concerne les types de collocations qui s’avèrent particulièreg ment problématiques pour le traducteur, les sources spécifiques du problème et les procédures auxquelles les traducteurs ont effectivement recours pour les traiter. Cet article étudie les domaines que nous venons de définir et se réfère en particulier à la colg location en anglais et en arabe. Un test de traduction a été élaboré, comprenant trente collocag tions de différents types, replacées dans un contexte de phrases. Nous avons fait passer ce test à quatre assistants d’université arabes qui enseignaient la traduction et effectuaient des travaux de traduction à différentes époques. Les résultats obtenus par les participants au test étaient exg trêmement faibles. Une analyse détaillée du problème a été effectuée et les conclusions ont fait l’objet d’un rapport. Nous espérons qu’une étude de ce type fournira des informations esseng tielles aux professeurs de traduction et aux concepteurs de programmes d’ enseignement.
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The theatre of Ovonramwen: A reflection on the dramaturgy and politics of historical reconstruction in the Nigerian theatre
Author(s): Rasheed Abiodun Musapp.: 153–171 (19)More LessAbstractThe Ovonramwen theatre is a paradigm that necessarily celebrates various theatrical performances and play-texts that reflect on the life and time of Oba Ovonramwen, the former King of the Benin Kingdom, Nigeria. Using the deductive methodology, this paper reflects on the politics of historical reconstruction in the Nigerian theatre and importantly evaluates various play-texts written about Ovonramwen by Nigerian playwrights. We conclude that the international theatre market will benefit from the Ovonramwen theatre and sincerely call on the British Government to tell us their own account about the subjugation of the people of Benin and the deposition of the god-king (Ovonramwen) through the famous revenge mission in 1897. Theatricalising these events through a play-text by a British writer or commissioned by the British Government will further help us to do more comparative study about Ovonramwen all in the Ovonramwen theatre. The ‘incisors’ must be separated from the ‘grinders’ if the truth must be known.RésuméLe théâtre d’Ovonramwen est un paradigme de performances théâtrales et des textes qui reflètent la vie du Roi Ovonramwen, l’un des anciens rois de Benin au Nigéria. A travers une méthodologie déductive, cet article traite de la politique de reconstruction historique du théâtre nigérian et évalue surtout les divers textes des pièces théâtrales écrits sur les dramaturges nigérians. Nous concluons que le marché international du théâtre va bénéficier de l’oeuvre théâtrale d’Ovonramwen et va en profiter pour demander au Gouvernement Britannique de donner sa version de la subjugation du Royaume du Benin et de la déposition du Roi-Dieu (Ovonramwen) à travers la fameuse mission de vengeance de 1897. En théâtralisant ces événements au moyen d’une pièce théâtrale d’un dramaturge britannique, approuvée par le Gouvernement Britannique, on arriverait mieux à procéder à une étude comparative sur Ovonramwen dans diverses oeuvres théâtrales. Les “incisives” doivent se séparer des “molaires” si la vérité doit se mettre à nue.
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Lexical relations in a cross-linguistic context
Author(s): Stavroula Varellapp.: 172–182 (11)More LessAbstractIt can be proved that words passing across linguistic barriers are often nothing more than acoustic images whose original meaning cannot necessarily be fully grasped and adopted; that is, mere strings of sounds whose meaning is subject not only to some semantic restriction or specialization, but also to more unpredictable semantic shifts. Cross-linguistic communication, in the absence of perfect bilingualism, is prone to errors, misunderstandings, or, perhaps, creative assignments of meaning triggered by context. Such ‘errors’ become apparent and amuse only when a cross-linguistic semantic comparison is undertaken. This paper attempts to reveal some interesting lexical relations occurring cross-linguistically, for which some psycholinguistic and/ or cultural explanations will be explored.RésuméIl est possible de démontrer que les mots traversant les barrières linguistiques ne sont souvent rien d’autre que des images acoustiques dont la signification originale ne peut pas être nécessairement totalement comprise et adoptée. Ce sont de simples séquences de sons dont la signification est sujette, non seulement à une restriction ou à une spécialisation sémantique, mais aussi à des changements sémantiques plus imprévisibles. Une communication translinguistique, en l’absence d’un parfait bilinguisme, est prédisposée à des erreurs, à des malentendus ou, peutêtre, à des attributions créatives de signification, engendrées par le contexte. De telles « erreurs » ne deviennent apparentes et n’amusent que lorsqu’une comparaison sémantique translinguistique est entreprise.
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