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Historiographia Linguistica - Volume 12, Issue 1-2, 1985
Volume 12, Issue 1-2, 1985
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"Etymologia Est Origo Vocabulorum...": Zum Verständnis der Etymologiedefinition Isidors von Sevilla
Author(s): Wolfgang Schweickardpp.: 1–25 (25)More LessSUMMARYThe study wants to contribute to the explication of Isidore of Sevilla's conception of etymology starting with the definition "Etymologia est origo vocabulorum, cum vis verbi vel nominis per interpretationem colligitur" (Etym. I, xxix, 1). At first sight the problem of interpretation results from the contradiction between the static character of the principal clause (est origo) and the dynamic character of the subordinate clause (colligitur). This contradiction is resolved in favour of the dynamic aspect by changing origo into originatio on the basis of a teleological and historical interpretation. In a second step, an attempt has been made to arrive at a comprehensive assessment of the definition by interpreting the constituents of the subordinate clause and by defining its relation with the principal clause. The first question concerns the function of the conjunction cum (the hypothesis of a conditional nexus is rejected from the first); in the course of the examination of this problem the constituents of the subordinate clause are analyzed (in particular interpretatio and vis). As to interpretatio it is shown that it corresponds to the justification of the origo ("Stellae dictae a stando, quia fixae stant in caelo nec cadunt"); vis is then described as a relational notion that is defined by the relation between the semantic contents of the origo and an actual characteristic property of the thing. Finally an examination of Isidore's actual proceeding demonstrates that the knowledge of vis results immediately from the knowledge of the origo (originatio) and the interpretatio. Consequently, the conjunction cum can be defined as cum coincidens.RÉSUMÉL'article veut contribuer ä expliquer la conception de l'étymologie d'Isidore de Séville en partant de la définition "Etymologia est origo vocabu-lorum, cum vis verbi vel nominis per interpretationem colligitur" (Etym. I, xxix, 1). Les difficultés que pose l'interprétation résultent d'abord de la contradiction entre le caractère statique de la proposition principale (est origo) et le caractère dynamique de la proposition subordonnée (colligitur). Cette contradiction a été résolue en faveur de l'aspect dynamique par la correction d'origo en originatio ä base d'une interprétation téléologique et historique. Dans une seconde phase on a cherché ä parvenir ä une évaluation d'ensemble de la définition en interprétant les constituants de la proposition subordonnée et en définissant sa relation avec la proposition principale. On a commencé par se demander quelle était la fonction de la conjonction cum (l'hypothèse d'un rapport conditionnel a été rejetée tout d'abord); au cours du traitement de ce problème, on a analysé les constituants de la proposition subordonnée (en particulier interpretatio et vis). Quant ä l' interpretatio, on a montré qu'elle correspondait ä la justification de l'origo ("Stellae dictae a stando, quia fixae stant in caelo nec cadunt"); la vis a été décrite comme notion relationnelle qui est définie par la relation entre le contenu sémantique de l' origo et un trait caractéristique actuel de la chose. L'examen du procédé pratique d'Isidore a montré finalement que la connaissance de la vis résulte immédiatement de la connaissance de l' origo (= originatio) et de l' interpretatio. Par conséquent la conjonction cum a été définie comme cum coincidens.
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John Palsgrave's 'Lesclaircissement De La Langue Francoyse' (1530)
Author(s): Douglas A. Kibbeepp.: 27–62 (36)More LessSUMMARYJohn Palsgrave, an Englishman, wrote the first detailed grammar of the French language, Lesclaircissement de la langue francoyse (1530). This work is remarkable not only for its length but also for its quality. Palsgrave wrote a pedagogical text for his English readers, using a system which leads the learner from the development of passive skills (interpretation, both oral and intellectual, of written texts) to the development of active skills (expressing oneself in the target language). At the same time, he responded to the French Humanist desire to bring the vernacular languages under the control of 'rules certayne'.In its grammatical method, Lesclaircissement exemplifies a stage in the development of Humanist grammar, as the Renaissance grammarians moved from a method based on forms to a more abstract representation of linguistic facts. As such, Palsgrave's work stands half-way between the early Renaissance calques upon Donatus and the later excursions into logical grammar. In phonetics, Palsgrave's attention to detail leads him to a clear recognition of the importance of nasal vowels in French (even if his articulatory description of the nasal vowels leaves something to be desired). In phonology, he aspires to a greater level of abstraction through his attempts to link liaison and elision phenomena to French phonotactics. In morpho-syntax, he uses the notion of perfection in language to provide an underlying structure in which the syntactic and the logical structure are explicit. He then explains how the languages in question 'circumlocute' to express the underlying structures. In this way, he prefigures the work of Meigret in French grammar. For all of his accomplishments, however, Palsgrave's work had little influence on his successors. It had only one printing of 750 copies, and Palsgrave himself restricted the sales. Still, the work deserves our attention because of its wealth of detail and because of the method it uses.RÉSUMÉL'Anglais John Palsgrave composa la première grammaire détaillée de la langue française, Lesclaircissement de la langue francoyse (1530). C'est une oeuvre remarquable, non seulement par sa taille, mais aussi par la finesse des ses descriptions grammaticales. Palsgrave écrivit un manuel destiné aux anglophones, suivant une méthodologie pédagogique qui mène l'étudiant de l'interprétation orale des textes écrits à l'expression personnelle. En même temps, il répondit à l'appel des humanistes français de fixer les règles des langues modernes.Par sa méthode grammaticale, Lesclaircissement marque une étape dans le développement de la grammaire humaniste, une étape où les grammairiens essaient de décrire les faits linguistiques d'une façon plus abstraite. L'oeuvre de Palsgrave se trouve au mi-point du chemin entre les calques de Donat et les débuts de la grammaire logique. En phonétique, son étude minutieuse le mène à reconnaître l'importance des voyelles nasales en français (même si sa description articulatoire des voyelles nasales laisse à désirer). En phonologie, il cherche un niveau d'abstraction plus élevé, en essayant d'employer les règles phonotactiques pour décrire la liaison et l'elision en français. En morphosyntaxe, il décrit un niveau logique sous-jacent, en jugeant la 'perfection' des structures linguistiques des deux langues. De cette manière, son oeuvre préfigure celle de Meigret (1550). Quelque brillant que Leclaircissement fût, il eut peu d'influence. On n'en tira que 750 exemplaires, et Palsgrave lui-même en garda la plupart. Neanmoins, les détails et la méthode de cette oeuvre méritent notre attention.
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Theories Du Langage Et Theories Du Pouvoir En France, 1800-1848
Author(s): Lia Formigaripp.: 63–83 (21)More LessSUMMARYThis article tries to show how different philosophical parties in France refute and/or partly accept and use 18th-century theories of language, according to their respective attitudes to ethical and political problems connected with the making of the bourgeois regime from 1800 to 1848. Louis-Gabriel-Ambroise de Bonald, Joseph de Maistre, Félicité Robert Lamennais reject the 'materialism' and 'atheism' of those whom they consider Locke's disciples (in particular Condillac and the Idéologues) and develop a philosophy of language corresponding to their own design of a restoration of moral values and social hierarchies of the ancien régime. Victor Cousin and Jean-Philibert Damiron try to reconcile opposite standpoints and to reduce them to an intermediate and 'generally moderate' position. The theory of language they develop is part of a philosophy of eclecticism which meets the needs of French middle classes before and after the revolution of July 1830. This same philosophy supports Pierre-Simon Ballanche's essay on social institutions (1818), which makes linguistic philosophy subservient to a project of bourgeois hegemony, and Ernest Renan's essay on the origin of language (1848), where French spiritualisme and German philology confirm each other.RÉSUMÉLa manière dont les différentes coteries philosophiques en France abordent l'héritage de la linguistique des Lumières, la manière dont elles se confrontent sur ce terrain, trahissent leurs attitudes respectives face aux problèmes moraux et politiques qui accompagnent la formation de l'Etat bourgeois entre 1800 et 1848. Les auteurs de ces débats sont, d'une part, les 'théistes' (Louis-Gabriel-Ambroise de Bonald, Joseph de Maistre, Félicité Robert Lamennais), qui réfutent le matérialisme des 'athées' (l'école de Locke': notamment Condillac et les Idéologues), et développent une théorie du langage conforme à leur propre projet de restauration des valeurs et des pouvoirs d'ancien régime; d'autre part, les médiateurs (Victor Cousin, Jean-Philibert Damiron), qui visent à réaliser en philosophie aussi bien qu'en politique un grand compromis éclectique conforme a la 'générale modération' souhaitée par la classe sociale qui sera la protagoniste de la Révolution de Juillet. Des produits de cette philosophie médiatrice en linguistique sont encore l'essai de Pierre-Simon Ballanche sur les institutions sociales (1818), où il développe une théorie de la Parole qui suppose la nécessité historique de l'hégémonie bourgeoise, et celui d'Ernest Renan sur l'origine du langage (1848), où le spiritualisme français et la philologie d'école allemande se confirment réciproquement.
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Centenaire D'Une Naissance: Gustave Guillaume (1883 -1960)
Author(s): Roch Valinpp.: 85–104 (20)More LessSUMMARYBeing very careful not to divorce the man from his work and to follow the order of events rigorously, the author has attempted to satisfy, at least partially, the growing curiosity aroused over the last two decades by the life of a linguist somewhat different from the lives of others, Gustave Guillaume. For this task, to check certain facts and dates, he was able to make use of the unpublished biographical essay completed in 1980 by Karine Vitier under the direction of Marc Wilmet, author of Gustave Guillaume et son école linguistique (1978). He was also able to take advantage of the documents collected at the Fonds Guillaume at Laval University. To this he has not hesitated to add, as source materials, the reminiscences he accumulated over a period of ten years of intimate contact with the scholar himself and his close acquaintances. What is here offered to the reader are only the bare bones — all that is possible at this juncture — of a full-fledged biography. While we await the larger work these few pages will give an insider's view of the man, on the basis of which it is to be hoped, the reader may come to a more human understanding of a work which, from many points of view, is forbidding, difficult and austere.RÉSUMÉMettant tous ses soins à ne pas séparer l'homme de l'oeuvre et à suivre rigoureusement l'ordre chronologique des événements, l'auteur de l'article se propose de satisfaire au moins partiellement la curiosité croissante qu'a suscitée, au cours des deux dernières décennies, la vie de ce linguiste pas tout à fait comme les autres qu'a été Gustave Guillaume. Il a pu s'aider dans son travail, pour préciser certains faits et certaines dates, de l'essai inédit de biographie entrepris en 1980, comme mémoire de licence à la Vrije Univer-siteit Brussel, par Karine Vitrier, sous la direction de Marc Wilmet, auteur de Gustave Guillaume et son école linguistique (1978). Il a aussi tiré parti de la documentation rassemblée au Fonds Gustave Guillaume de l'Université Laval, à quoi il n'a pas hésité à joindre, comme sources, les souvenirs accumulés au cours d'une longue intimité avec le savant et son entourage immédiat, au cours des dix dernières années de sa vie. Ce qui est ici proposé au lecteur n'est en quelque sorte — plus n'étant pas pour l'instant possible — que l'embryon à partir duquel une vraie biographie pourra un jour s'écrire. En attendant mieux, on trouvera dans ces pages un éclairage un peu intimiste sur l'homme, dont on espère qu'il permettra une lecture moins désincarnée d'une oeuvre par maints côtés abrupte, difficile et austère.
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Arabische Lexikographie Ein Historischer Überblick
Author(s): Helmut Gätjepp.: 105–147 (43)More LessSUMMARYThe first part of the article (Sect. 1-6), an earlier version of which appeared in 1964, constitutes a survey of medieval Arabic lexicography, which resulted in the conlusion that the works of these lexicographers could not be used, according to modern standards, as primary sources for lexical studies of Arabic, as has frequently been done up to now. It is characteristic of medieval Arabic lexicography that it was limited to the study of Classical Arabic, the literary language of Islamic society until the end of the tenth century. The beginnings of Arabic lexicography date back to the time of 'All or to the early Umayyads and were motivated by the concern for the classical language and its preservation from decline and deterioration. It was primarily the Koran, tradition literature, early poetry and proverbs which served as a basis for lexical studies. As a result of these scholarly efforts a number of lexical works were produced, some of which aiming at a complete vocabulary of the language, others being limited to certain linguistic and literary fields. Besides dictionaries in the proper sense there are also onomastic dictionaries. The arrangement of roots varies in different works. Although some of these dictionaries are extremely voluminous, they do not adequately represent the actual state of the language, as evidenced by the Lisän al-'Arab, for, on the one hand, they are often incomplete, on the other hand they contain material of dubious origin. Information as to usage and currency is lacking. The arrangement of the material within the roots is irregular and unsystematic, and the morphological structure of words is not always clearly established. There are shortcomings with regard to the definition of word meaning; moreover, no distinction is made between common and occasional meaning. Sometimes a meaning is stated as being known, sometimes it is defined by synonyms. Information regarding gender is often too general and wide, whereas with regard to meaning it is too narrow, based on isolated occurrences or simply false. In conclusion, reference is made to the Wörter-buch der klassischen arabischen Sprache (WKAS), which constitutes a new approach to Arabic lexicography.The second part of the paper (Sect.7-10) reports on the progress and development of the WKAS up to 1983 (date of publication of the first half of the second volume). The source material has been considerably enlarged, and there are also improvements from the technical point of view. Another change, however, is the widening of the linguistic scope. In addition to the classical language in the strict sense, translations from Greek (and Syriac) and relevant works succeeding them are taken into acount. Although this material only refers to certain domains of Greek thought, mainly pertaining to scientific subjects, it is rather heterogenous and often requires considerable expert knowledge. Theoretical concepts are more frequent here than in common literary language. The translations vary, moreover, as to quality and usage; the latter alsoapplies to relevant subsequent literature. In philosophy, for instance, only a small quantity of loan-words and foreign words is to be observed. Word composition being almost completely lacking as a means of translation, Greek terms were rendered by way of morphological derivations and syntactical structures, or by semantic extensions and semantic loans. At the present stage of research it is not yet possible to achieve a complete inventory of technical terms; consequently, examples quoted as reference are not always equally pertinent. For the same reason a number of terms and definitions could be added in the field of philosophy as well. Another problem is the choice of adequate European meanings for rendering Arabic concepts. In the WKAS philosophical terms are partially included in the entries devoted to common language. In such cases, but also when they are treated apart, sequences of meaning are sometimes produced which are neither homogeneous in themselves, nor do they always fit in with the examples quoted. Thus the user must take notice of the distinction made within individual entries, and, if required, rely on his own judgment in finding further definitions. All things considered, the WKAS is certainly not to be regarded as a substitute for a dictionary of philosophical terms, but it offers rich and valuable material in this respect.RÉSUMÉLa premiere partie de cet article (sect. 1-6), publiee pour la premiere fois en 1964, contient un aperçu de la lexicographie arabe indigene; elle en arrive ä la conclusion que ses travaux ne peuvent plus servir de base principale au defrichement lexical de l'arabe, comme ce fut largement le cas jusqu'ä present. Le trait caracteristique de cette lexicographie est qu'elle se limite ä l'arabe classique, que etait vivant, comme langue litteraire, jusque vers la fin du 10e siecle. Les debuts de la lexicographie qui se situent ä l'epoque de 'Ali ou des premiers Omeyyades, sont conditionnes par un motif, celui de proteger la langue classique contre les defigurations. L'objet de l'observation etaient avant tout le Coran, la tradition religieuse, la poesie archaïque et les proverbes. Ces efforts lexicographiques aboutirent ä des ouvrages, les uns visant l'ensemble du vocabulaire, d'autres ne touchant que des domaines partiels de la langue ou de la litterature. En plus des lexiques stricto sensu, il y a aussi les dictionnaires onomastiques. L'organisation des racines diverge dans les differents lexiques. En depit de leur volume, parfois enorme, ces lexiques ne rendent pas justice ä l'etat reel de la langue, ainsi qu'il est montre ä l'exemple du Lisän al-'arab. D'une part ils sont lacunaires, d'autre part ils contiennent du materiau non indigene. Les constatations relatives au mode d'emploi et ä la frequence y font defaut. La disposition du materiau classe sous les racines est heterogene et asystematique. La forme des mots n'est par toujours fixee de façon univoque. A cela s'ajoutent des deficiences dans la definition du sens des mots, car il n'y a pas de differenciation entre signification usuelle et signification occasionnelle. Les significations sont partie designees comme etant connues, partie definies par des synonymes. Par ailleurs, on trouve des indications generales et trop larges relatives au genre et des significations trop restreintes tirees de passages isoles, ainsi que des significations fausses. Pour une nouvelle amorce de la lexicographie arabe, on a attire l'attention sur le Wörterbuch der klassischen arabisc hen Sprache (WKAS), dont la premiere livraison a paru en 1957.La deuxieme partie s'occupe du developpement ulterieur du WKAS jusqu'en 1983 (date de parution de la premiere moitie du deuxieme volume). La base du materiau a ete considerablement etendue et la technique amelioree. C'est cependant le cadre linguistique qui a lui aussi ete elargi. En effet, ä (cöte de la langue classique proprement dite, il a aussi ete tenu compte des traductions du grec (et du syriaque) ainsi que de la litterature qu'elles ont engendree. Tout en ne concernant qu'une partie de la pensee grecque, notamment scientifique, le materiau est fort diversifie et exige parfois des connaissances considerables de la matiere. Il contient bien plus de notions theoriques que la langue litteraire commune. Les traductions sont inegales au point de vue de la qualite et de l'usage, qui n'a pas lui non plus ete entierement unifie dans la litterature subsequente. La philosophie, ä titre d'exemple, ne presente qu'une faible proportion d'emprunts. Le procede de la composition faisant quasiment defaut, pour rendre les termes grecs, on a eu recours ä des derivations morphologiques et des imitations ä l'aide de schemes syntaxiques. A cela viennent s'ajouter les extensions et les calques semantiques. L'etat actuel de la recherche met des limites ä l'apprehension du vocabulaire specialise, si bien que les exemples-temoins ne sont pas toujours uniformement caracteristiques. Par consequent, en philosophie, certains mots et significations pourraient egalement faire l'objet de supplements. Un autre probleme est celui du choix d'une signification europeenne adequate. Dans le WKAS, les termes philosophiques sont en partie integres aux items consacres ä la langue commune. Ce faisant, et même lors d'un traitement separe, on trouve des series de significations qui ne sont pas toujours homogenes et ne s'appiquent pas toujours ä tous les exemples. L'utilisateur doit prêter attention ä la differenciation au sein des items et, le cas echeant, proceder ä d'autres definitions. Tout bien considere, le WKAS ne remplace pas un dictionnaire specialise de philosophie, mais il contient aussi ä cet egard un materiau riche et precieux.
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